lundi 31 mars 2014

TFSA (à la bourre)...Frérot, soeurette, à la vie, à la mort!


Pour ceux qui ne sauraient pas ce qu'est le TFSA (Top Five Serie Addict), je vous invite à aller faire un tour sur le blog de Tequi, qui, chaque semaine, propose un nouveau thème autour de nos séries préférées.

J'ai lu quelque part que les liens de l'amitié sont souvent bien plus fort que ceux du sang. Il n'empèche que tout un chacun doit se composer avec une famille, qu'il aime ou qu'il traine comme un boulet. C'est selon. Nos héros sériesques aussi.


Dexter / Debra



Dexter et Debra, c'est l'apothéose du paroxysme.  Là où Dexter, notre anti-héros préféré, ne ressent pas les émotions, Deb le considère, malgré son statut d'enfant adopté, comme sa seule famille et ira meme jusqu'à se nourrir de sentiments ambigus à son égard. J'ai été tour à tour, émue, déconcertée par leur relation mais c'est une des plus marquantes pour moi dans l'histoire des séries.


Kitty / Kevin



Kitty est une pétasse, elle s'entend vachement bien avec toute sa grande famille. Mais la relation qu'elle a avec son frère Kevin reste, à mes yeux, la plus belle, assurément. Celle que j'aurai voulu avoir si j'avais eu un frère. Une relation, tendre, complice, touchante. Le rève quoi!


Nathan / Lucas



Ces deux là, c'était pas du "tout cuit" si tu vois ce que je veux dire". Au départ, meme si ils sont quand meme issus du meme type de ... spermatozoïdes, les 2 ne peuvent pas se blairer. Mais à vouloir interférer, consciemment ou non d'ailleurs, ils finiront par s'accepter et meme s'apprécier. Ha, les séries, c'est un peu le monde des bisounours!


Brandon / Brenda



Les derniers qui me viennent à l'esprit. Mais ca remonte à tellement loin que je ne me rappelle meme plus si ils s'entendaient bien ou pas... Mais bon, ils étaient quand meme un peu incontournables ici, je ne pouvais pas passer à coté!

vendredi 21 mars 2014

TFSA détourné... Bye bye... A la revoyure!

Pour ceux qui ne sauraient pas ce qu'est le TFSA (Top Five Serie Addict), je vous invite à aller faire un tour sur le blog de Tequi, qui, chaque semaine, propose un nouveau thème autour de nos séries préférées.

Les séries et moi, c'est par période. J'ai ainsi eu une période Grey's Anatomy/Les Mystères de l'amour (honte sur moi)/Brothers&Sisters... En ce moment, je suis plutot dans la période GA/The New Normal/Hart Of Dixie / HIMYM... Bref, il y a les incontournables, celles dont je ne peux me passer et les autres, celles que je peux mettre au fond du placard quelques temps et ressortir quand ça me fait plaisir il n'y a rien d'autre à se mettre sous la dent. Alors, encore une fois, mon TFSA sera détourné puisque j'ai peine à envisager d'en abandonner une. Je préfère me dire que je la met de coté quelques temps... 

Fringe

Je me suis jetée dessus comme un moineau sur du pain en plein hiver. Le concept était top, frisant le paranormal, j'adhère. Mais l'heure de diffusion me pique les yeux et à l'époque, je ne me lance pas dans des marathons à peine terminables, les morpions étant encore petits. Je m'arrete donc sagement en cours de saison 3. Mais sur que celle là ressortira vite!

Body of Proof

Que dire d'une série quand on en a vu que 3 épisodes. Effectivement, ça ne va pas très loin. En tous cas, ils m'ont bien plu mais quand on suis une bonne 20aine de séries à la fois, il faut faire des concessions. Body of Proof en a été une!

Elementary

J'avais kiffé le démarrage. Je suis tombée littéralement sous le personnage de Sherlock. Mais au bout du 10ème épisode de la 2nde saison, la routine me gagne. Je range jusqu'à la prochaine fois.

Lost

J'ai eu très peur d'avoir peur quand j'ai vu les 1er épisodes. Moi, chiasseuse de nature? Ouais, t'as raison! N'empeche que, meme punition que pour Fringe, heure de diffusion indécente + bébé = incompatibilité avec moi. Mais du coup, ça fait tellement longtemps qu'elle est au placard qu'à mon avis, il va falloir que je la recommence entièrement, histoire de ne pas passer à coté de quelque chose d'important!

The Following

Le grand Kevin est de retour. Et dans un role du feu de Dieu. Il n'empeche que je me suis arrétée au 10ème épisode et que je vais la laisser prendre un peu la poussière avant de la déterrer!

mercredi 19 mars 2014

J'ai lu... Demain j'arrête - Gilles Legardinier


Ce que dit la 4ème de couv'

Et vous, quel est le truc le plus idiot que vous ayez fait de votre vie ? Au début, c'est à cause de son nom rigolo que Julie s'est intéressée à son nouveau voisin. Mais très vite, il y a eu tout le reste : son charme, son regard, et tout ce qu'il semble cacher... Parce qu'elle veut tout savoir de Ric, Julie va prendre des risques de plus en plus délirants... 

Ce que j'en pense

Julie, l'héroïne, m'aura fait rire toute seule dans mon lit ce dimanche matin. Ses plans tous plus foireux les uns que les autres, ses idées loufoques, son histoire... J'ai bien reconnu la patte Legardinier qui m'aura séduite dans Et soudain, tout change. Les chapitres courts, les dialogues nombreux donnent au livre un rythme incisif qui m'a énormément plu. Les réflexions de Julie lui confèrent un caractère beaucoup plus vivant, beaucoup plus crédible. Les personnages sont attachants, bourrés d'émotions.
Cependant, je m'attendais à mieux. D'avance, je savais, à la lecture du synopsis, que j'allais être moins emballée que pour ma lecture précédente. Ca sentait l'histoire d'amour à 3 kilomètres à la ronde et je ne suis pas forcément très adepte de ce genre d'histoire. 
Je n'ai pas pris une énorme claque (cf ici) et je ne me suis pas spécialement reconnue au travers des péripéties de Julie. J'avais plutot l'impression d'être une de ses copines à qui elle racontait l'histoire de sa vie.
Je dois cependant lui reconnaitre l'énorme mérite de m'avoir divertir le temps d'une matinée nuageuse.

Le passage qui me reste en tête

«Il faut tout espérer, au risque d’être déçu. Il faut tout éprouver au risque d’être blessé, tout donner au risque d’être volé. Ce qui vaut la peine d’être vécu vous met forcément en danger.»

Ma note 

4/5

lundi 17 mars 2014

J'ai vu... mange, prie, aime


Pas d'article depuis 1 semaine, ça sent le tire au flanc. Donc, pour pallier à ce manque total d'inspiration, il me fallait du lourd. Ca a commencé ce matin, vers 5h20. Ou plutôt, ca fait deja quelques années que ça a commencé.
J'avais le film sur l'ordi depuis quelques temps et, à chaque fois, entre lui et moi, ça n'a été que des occasions ratées : une clé usb fichue, le lecteur en panne, une soirée beuverie improvisée, et j'en ai encore des tonnes en provision. Au vu du synopsis, je savais par avance qu'il était hors de question de tenter de le voir avec Cher&Tendre, encore moins avec les Gremlins dans les pattes. Ce matin, fraichement réveillée et prise d'une subite envie de ne plus dormir, j'ai saisi l'occasion. 

Le synopsis

Après un divorce difficile, Liz Gilbert décide de prendre une année sabbatique et de changer de vie. Elle entame alors un périple initiatique qui va l’emmener au bout du monde et d’elle-même. Lors d’un voyage aussi exotique que merveilleux, elle retrouve l’appétit de vivre et le plaisir de manger en Italie, le pouvoir de la prière et de l’esprit en Inde, et de façon tout à fait inattendue, elle trouvera la paix intérieure et l’amour à Bali.

La bande Annonce

Mon (humble) avis

Mange, prie, aime, c'est d'abord l'histoire de cette femme, entamant cette fameuse année sabbatique à la recherche de ce qu'elle a l'impression d'avoir perdu. Elle part loin de chez elle, de ses amis, de ses repères et part à la découvertes de lieux absolument magnifiques, rencontre des personnalités qui le sont tout autant. Elle y redécouvre des plaisirs essentiels et des vérités qu'elle ne soupçonnait pas.
Mais Mange, prie, aime, c'est surtout l'histoire de chaque femme. Je pense que nous avons toutes eu un jour cette envie, ce besoin d'évasion, d'échapper à la pression quotidienne. Nous nous sommes tous un jour posé cette fameuse question : "suis je vraiment à ma place? Suis je vraiment heureuse?". De là à vivre une expérience totalement mystique, partir vivre dans un ashram... le pas est grand!
Julia Roberts est bouleversante de sincérité et Richard Jenkins m'aura émue au plus haut point. Jeffrey Dean Morgan, que j'adore en temps normal, me laisse cependant pantoise, surtout quand j'entend son horrible accent brésilien.
Pour ne rien vous cacher, ce film va rejoindre mon top 5 de mes préférés et je pense même faire l'investissement du bouquin!

mardi 11 mars 2014

J'ai lu... Thérapie - Sébastian Fiztek

Ce que dit la 4ème de couv'

Cela fait un an que le psychiatre Viktor traîne sa fille de 12 ans de médecin en médecin pour trouver la cause de ses multiples et inexplicables problèmes de santé. Il l'emmène voir un allergologue. Dans la clinique, elle entre dans le bureau du médecin pendant que Viktor attend dans la salle d'attente. Ne la voyant pas revenir, Viktor découvre que sa fille a disparu, qu'elle n'avait pas de rendez-vous et que personne ne l'avait même vue entrer à la clinique ce matin-là! À se demander si elle y est même entrée. On imagine l'impact de cette disparition sur la vie personnelle et professionnelle de Viktor ...
Quatre ans plus tard, lors d'une retraite dans un chalet isolé, il reçoit la visite d'une étrange Anna, qui réclame ses soins de psychiatre, même s'il a cessé de pratiquer depuis la disparition de sa fille. Le problème d'Anna, qui est auteure de livres pour enfants: elle retrouve les personnages de ses romans dans la vraie vie. Et son dernier roman, inachevé, est une petite fille dont l'histoire ressemble drôlement à celle de la fille de Viktor.

Ce que j'en pense

Il ne m'aura fallu que 2 séances pour en venir à bout. Un brin de soleil et un synopsis qui m'a tout de suite attiré l'oeil. Une disparition et un ex-psy enfermé, je m'en délectais d'avance. 
Victor Larenz est un personnage d'emblée complexe, sa maladien'est nommée que dans les dernières pages. Pendant tout le livre, j'ai passé mon temps à me demander si le gars n'était pas fou, s'il ne révait pas, s'il n'avait tout simplement pas inventé cette histoire. Je me suis meme demandé si cet écrivain qu'Anna prétendait être, ce n'était pas lui, en train de transpirer son roman.
L'auteur signe un très bon 1er roman, au rythme soutenu, sans aucun temps mort, rythmé par de très nombreux dialogues qui donnent beaucoup de corps et de vraisemblance à son récit.
Cependant, l'avoir lu après Puzzle me l'aura peut être fait un peu moins apprécié que si j'avais fait le contraire. De base, le scénario est plus ou moins le même mais tandis que celui de Thilliez est bourré d'action dans l'hopital psychiatrique, celui de Fiztek reste plus intellectualisée. Cela reste néanmoins un très bon opus que j'ai pris plaisir à lire.

Le passage qui me reste en tête

« – Tu sais quoi, Viktor ? L'espoir, c'est comme un éclat de verre planté dans ton  pied. Tant qu'il reste enfoncé dans ta chair, il te fait souffrir à chaque pas. Tandis que si on te l'enlève, ça saignera pendant un moment, ça prendra un bout de temps avant que la plaie soit guérie, mais, au bout du compte, tu pourras réapprendre à marcher normalement. C'est ce qu'on appelle le deuil. »

Ma note 

4/5

mercredi 5 mars 2014

Je n'ai pas réussi à lire... Horreur boréale - Asa Larsson


Ce que dit la 4ème de couv'

Rebecka Martinsson, avocate fiscaliste à Stockholm, reçoit un matin un coup de téléphone affolé de Sanna Strandgard, son amie d'enfance à Kiruna en Laponie, lui annonçant la mort de son frère Viktor, retrouvé sauvagement assassiné au coeur de l'église où il officiait. Viktor Strandgard, c'est un peu le Messie suédois : après un coma prolongé, l'homme avait écrit un livre sur son aller-retour dans le monde des morts et contribué activement à la création d'une église à Kiruna dont les disciples n'ont cessé de croître avec les années. Quand Rebecka apprend que Sanna, qui a découvert le corps, est considérée comme la suspecte n° 1, elle n'hésite pas à retourner dans le village de son enfance. Mais, dans la petite ville, son arrivée ne fait pas que des heureux. Les trois pasteurs de l'église semblent avoir beaucoup de choses à cacher et la neige ne va pas tarder à se teindre de sang...

Ce que j'en pense

1 mois que je n'ai pas pondu d'article lecture et pour dire quoi : rien de terrible! Non. Tout simplement parce que je n'ai pas réussi à accrocher.
En effet, chez moi, c'est simple, je suis aussi rapide à me faire un avis sur les livres que sur les personnes que je suis amenée à côtoyer (environ 50 pages dans un cas, 2 minutes dans l'autre). 
L'histoire me semblait bonne sur le papier : un mort, d'atroces souffrances... Et un auteur suédois ou de je-ne-sais-lequel-des-3-pays-nordiques. Sur le papier, ça aurait du être génial.
En réalité, ce fut bien plus pesant que je ne le pensais. Le dépaysement est tel que j'avais l'impression de voir débarquer un nouveau personnage toutes les 2 pages. En gros, je devais sans cesse retourner quelques pages en arrière pour savoir qui était Marticka : l'avocate, la sœur ou la flic?
Peut être que je n'avais juste pas la tête assez dedans. Manque de concentration? Surement. Mais ce n'est pas parce que je l'ai refermé avant d'arriver à la fin que je vais baisser les bras de sitôt. Il repart rejoindre le reste de ma PAL... On ne sait jamais!

Le passage qui me reste en tête


Ma note 

2/5

lundi 3 mars 2014

Ca tourne en boucle #2

28 jours en février, c'est dire que le mois passe vite. Tellement vite que j'en aurai presque oublié mon RDV désormais mensuel du "Ca tourne en boucle".
Pour rappel, le "Ca tourne en boucle" est un challenge lancé par Tenten.
1 petit mois mais beaucoup de musique, sans aucun ordre de préférence.

Jessie J est une nana que j'apprécie beaucoup, surtout depuis son single avec James Morrison (mais ça, c'est une autre histoire!). Bref, je suis tombée la dernière fois sur son Live At Home et j'ai été faire un tour sur son profil Deezer et suis tombée sur cette super nouveauté.

Ca me semble vieux comme Hérode et pourtant, il aura fallu d'un bon cours de step plein de sueur pour que celle là se rappelle à moi. A écouter comme ça, c'est pas ce qu'il y a de mieux mais pendant mon sport hebdomadaire, bon dieu que ça fait du bien à mes Noreilles!

J'aime.... J'adoooooore ce son, cette voix... Que j'ai découverte un matin par hasard, la tronche légèrement enfumée de mon café. Je connaissais deja Drake de son duo avec Rihanna mais là, il m'a juste soufflée.

Entendu un samedi matin, dans Alerte Cobra. Mais qui est donc ce groupe que je ne connais pas? Une recherche Gogol et c'est trouvé... et adopté!

J'aimais deja énormément l'original. Shakaponk y a posé sa patte, discrètement mais surement. Je kiffe!

Eric Clapton est un sacré musicos et en général, j'aime tout ce qu'il fait. My Father's Eyes ne déroge pas à la règle, je me le suis bouffé quasiment tous les jours de ce mois.

U2 est de ces groupes indémodables. Mon Cher papa m'a formé à apprécier et leur dernier titre n'est pas passé au travers des mailles de mon filet. Cela me laisse présager un très album que je suis impatiente de découvrir.